06 Oct 2008 23:00
Adamasplayer a écrit :Peux-tu m'expliquer le rôle d'un "compresseur" et celui d'un "limiter"
Si j'ai bien tout compris le compresseur booste un peu le son ce qui donne plus d'attaque, le limiteur au contraire amortit les attaques trop fortes.
Je sais que l'on se sert de ça sur les voix pour que le chant passe bien au dessus du reste pour remonter les passages où on ne distingue pas assez les paroles et éviter d'en prendre plein les oreilles quand le chanteur pousse un peu trop sa voix.
Après tout est une question de dosage !
06 Oct 2008 23:19
Il y a aussi les T-Bone qui ne sont pas mal (distribués par thomann)
J'ai le SC450, couplé à un preamp ART tube MP. J'enregistre avec ça ma guitare, du violon et du chant. Le resultat est assez bon, aucun de souffle, un son defini et "chaud".
J'ai le SC450, couplé à un preamp ART tube MP. J'enregistre avec ça ma guitare, du violon et du chant. Le resultat est assez bon, aucun de souffle, un son defini et "chaud".
06 Oct 2008 23:46
Alors, le compreseur réduit la dynamique.
Le but , c'est d'augmenter le niveau des signaux faibles et de diminuer celui des niveaux fort.
Ainsi, le volume moyen parait plus élevé
Comment ça fonctionne.
Et bien c'est simple. Quand à un instant T, le signal dépasse un un niveau N, le compresseur va réduire le niveau de N à l'instant T d'un ratio que l'on a définit.
Exemple, Prenons un seuil de - 6 dB et un un ratio de 3:1.
Le signal en entrée arrive à -3dB, à la sortie (après compression), il est sera de -5dB.
Alors, à cet instant T a un volume moins élevé certes ! Mais comme tous les instants auront moins d'écart, le volume moyen paraitra plus important à nos oreilles.
Puisque les 3 dB supplémentaires seront réduits à [1]dB[/b]
Pour donner parfois plus de pêche, on a un paramètre qui s'appelle l'attaque sur les compresseurs.
C'est à dire que la compression n'entrera en action qu'après un certain délai.
Exemple, On règle l'attaque à 0,3 s.
On a un son qui monte brusquement à 9dB, de 0 à 0.3s, il ne sera pas compressé, et à partir de 0,3s, il sera compressé.
Ainsi, l'attaque du son sera plus forte que le reste.
--
La limitation est un cas particulier de la compression car il a un seuil très élevé et un taux de compression maximum. Sa fonction principale est d'empêcher toute saturation.
Cependant, on l'utilise souvent aussi en mastering pour diverses raisons.
Tout d'abord, parce que le numérique (support CD), est telle que l'on ne peut pas stocker toutes les nuances de volume aussi aisément que ce que l'on voudrait.
Aussi, parce que ça obligerait l'auditeur a pousser le volume de la chaine à fond à cause des passages faibles, et les passages forts feraient trembler tous les murs. Et si il ne met pas le volume assez fort, il n'entend pas les passages faibles.
Ainsi, on utilise un limiteur pour minimiser ces grands écarts.
Il faut avouer que c'est appréciable de pouvoir entendre le triangle dans l'orchestre, sans pour autant se faire déchirer les tympans par le tuba.
L'autre intérêt d'utilisation, c'est par exemple, lorsque l'auditeur est dans une voiture, le tout doit "couvrir" le bruit ambient, c'est pourquoi les radios utilisent à outrance la compression et la limitation.
A la télé, c'est la raison pour laquelle on a l'impression que les pubs sont plus fortes que le film.
On compresse/limite, pour que le téléspectateur entende très bien la pub.
Ce sont deux outils très puissants et comme tous les outils puissants, ils sont très dangereux dans la mesure où il est très facile de détériorer la qualité de ce que l'on a enregistré.
C'est pourquoi quand on enregistre des pistes en vue d'aller en studio, on ne met ni compression, ni limitation. C'est l'ingé son qui utilisera à bon escient ces effets lorsque cela sera nécessaire.
Le but , c'est d'augmenter le niveau des signaux faibles et de diminuer celui des niveaux fort.
Ainsi, le volume moyen parait plus élevé
Comment ça fonctionne.
Et bien c'est simple. Quand à un instant T, le signal dépasse un un niveau N, le compresseur va réduire le niveau de N à l'instant T d'un ratio que l'on a définit.
Exemple, Prenons un seuil de - 6 dB et un un ratio de 3:1.
Le signal en entrée arrive à -3dB, à la sortie (après compression), il est sera de -5dB.
Alors, à cet instant T a un volume moins élevé certes ! Mais comme tous les instants auront moins d'écart, le volume moyen paraitra plus important à nos oreilles.
Puisque les 3 dB supplémentaires seront réduits à [1]dB[/b]
Pour donner parfois plus de pêche, on a un paramètre qui s'appelle l'attaque sur les compresseurs.
C'est à dire que la compression n'entrera en action qu'après un certain délai.
Exemple, On règle l'attaque à 0,3 s.
On a un son qui monte brusquement à 9dB, de 0 à 0.3s, il ne sera pas compressé, et à partir de 0,3s, il sera compressé.
Ainsi, l'attaque du son sera plus forte que le reste.
--
La limitation est un cas particulier de la compression car il a un seuil très élevé et un taux de compression maximum. Sa fonction principale est d'empêcher toute saturation.
Cependant, on l'utilise souvent aussi en mastering pour diverses raisons.
Tout d'abord, parce que le numérique (support CD), est telle que l'on ne peut pas stocker toutes les nuances de volume aussi aisément que ce que l'on voudrait.
Aussi, parce que ça obligerait l'auditeur a pousser le volume de la chaine à fond à cause des passages faibles, et les passages forts feraient trembler tous les murs. Et si il ne met pas le volume assez fort, il n'entend pas les passages faibles.
Ainsi, on utilise un limiteur pour minimiser ces grands écarts.
Il faut avouer que c'est appréciable de pouvoir entendre le triangle dans l'orchestre, sans pour autant se faire déchirer les tympans par le tuba.
L'autre intérêt d'utilisation, c'est par exemple, lorsque l'auditeur est dans une voiture, le tout doit "couvrir" le bruit ambient, c'est pourquoi les radios utilisent à outrance la compression et la limitation.
A la télé, c'est la raison pour laquelle on a l'impression que les pubs sont plus fortes que le film.
On compresse/limite, pour que le téléspectateur entende très bien la pub.
Ce sont deux outils très puissants et comme tous les outils puissants, ils sont très dangereux dans la mesure où il est très facile de détériorer la qualité de ce que l'on a enregistré.
C'est pourquoi quand on enregistre des pistes en vue d'aller en studio, on ne met ni compression, ni limitation. C'est l'ingé son qui utilisera à bon escient ces effets lorsque cela sera nécessaire.
Dernière édition par Le Poulpe Mort le 07 Oct 2008 1:42, édité 1 fois.
07 Oct 2008 0:36
Un exemple vaut milles explications alors, je fais une petite démo de tous ces outils.
Je les ai utilisé de façon excessive pour qu'on sente bien les différences, mais évidemment, ce n'est pas à faire si on veut un résultat propre.
1> D'abord, la prise de son brute. (Le niveau est faible)
2>La prise de son avec un expanseur. (L'expanseur est l'inverse du compresseur, il atténue les sons faibles).
Ici, on l'entend quand il n'y a plus de son, le souffle est coupé en même temps.
Je n'utilise habituellement jamais l'expansion sur une guitare acoustique, car comme vous le remarquerez, le résultat est peu esthétique (trop haché). D'autant plus que là, le bruit de fond est particulièrement important à cause d'un PC bruyant dans la pièce.
Et qui plus est, je ne l'utilise jamais sur une piste globale.
L'expansion est utile pour la batterie, par exemple, pour atténuer les bruits de résonance des fûts qui sont désagréables dans un mix.
Exemple de batterie sans expanseur : L'album St.Anger de Metallica
Exemple de batterie avec expanseur : L'album Master of Puppets, du même groupe.
Parfois aussi, on peut l'utiliser sur la guitare électrique en disto, .car le souffle se perçoit moins dans un son saturé. Mais il y a un autre moyen d'éviter le souffle pour les guitares électriques... (J'en parlerais si ça en intéresse)
3> La compression! Ici, la dynamique est réduite, on ne perçoit pas toujours l'effet quand l'oreille n'est pas exercée.
On remarque cependant plus la compression avec les effets comme les delay et la réverbération qui ressortent plus avec la compression.
Je les ai utilisé de façon excessive pour qu'on sente bien les différences, mais évidemment, ce n'est pas à faire si on veut un résultat propre.
1> D'abord, la prise de son brute. (Le niveau est faible)
2>La prise de son avec un expanseur. (L'expanseur est l'inverse du compresseur, il atténue les sons faibles).
Ici, on l'entend quand il n'y a plus de son, le souffle est coupé en même temps.
Je n'utilise habituellement jamais l'expansion sur une guitare acoustique, car comme vous le remarquerez, le résultat est peu esthétique (trop haché). D'autant plus que là, le bruit de fond est particulièrement important à cause d'un PC bruyant dans la pièce.
Et qui plus est, je ne l'utilise jamais sur une piste globale.
L'expansion est utile pour la batterie, par exemple, pour atténuer les bruits de résonance des fûts qui sont désagréables dans un mix.
Exemple de batterie sans expanseur : L'album St.Anger de Metallica
Exemple de batterie avec expanseur : L'album Master of Puppets, du même groupe.
Parfois aussi, on peut l'utiliser sur la guitare électrique en disto, .car le souffle se perçoit moins dans un son saturé. Mais il y a un autre moyen d'éviter le souffle pour les guitares électriques... (J'en parlerais si ça en intéresse)
3> La compression! Ici, la dynamique est réduite, on ne perçoit pas toujours l'effet quand l'oreille n'est pas exercée.
On remarque cependant plus la compression avec les effets comme les delay et la réverbération qui ressortent plus avec la compression.
- Pièces jointes
-
Prise de son brute.mp3 [ 1.9 Mio | Consulté 21867 fois ]
-
Prise de son + Expanseur.mp3 [ 1.9 Mio | Consulté 21867 fois ]
-
Prise de son + Expanseur + Compresseur.mp3 [ 1.9 Mio | Consulté 21870 fois ]
Dernière édition par Le Poulpe Mort le 07 Oct 2008 0:51, édité 1 fois.
07 Oct 2008 0:38
4> La limitation ! Ben là, la différence est franche, le volume moyen est nettement plus élevé.
Et on remarque d'avantage l'utilisation de l'expanseur (berk)
Le quizz => De quel film est inspiré ce petit air de guitare ?
Et on remarque d'avantage l'utilisation de l'expanseur (berk)
Le quizz => De quel film est inspiré ce petit air de guitare ?
- Pièces jointes
-
Prise de son + Expanseur + Compresseur + Limiteur.mp3 [ 1.9 Mio | Consulté 21859 fois ]
07 Oct 2008 11:11
Merci pour toutes ces explications et ces démos.
Autre chose maintenant : dans quel ordre faut-il pratiquer ?
Après la prise de son brute sans correcteur,
- quand doit-on ajouter les effets (reverb, phaser, chorus, delay ...),
- à quel moment doit appliquer les compresseur, limiteur, expanseur,
- les correcteurs physiologiques graves aigüs,
- et enfin la masterisation ? quesaquo ?
Je sais, ça fait beaucoup de choses mais merci d'avance d'éclairer ma lanterne sur tous ces points ... j'avoue que je pourrais bien acheter des bouquins qui traitent du sujet, mais c'est "imbittable" si on n'est pas du métier
et la notice d'utilisation de mon Korg n'est pas très explicite sur le sujet.
Autre chose maintenant : dans quel ordre faut-il pratiquer ?
Après la prise de son brute sans correcteur,
- quand doit-on ajouter les effets (reverb, phaser, chorus, delay ...),
- à quel moment doit appliquer les compresseur, limiteur, expanseur,
- les correcteurs physiologiques graves aigüs,
- et enfin la masterisation ? quesaquo ?
Je sais, ça fait beaucoup de choses mais merci d'avance d'éclairer ma lanterne sur tous ces points ... j'avoue que je pourrais bien acheter des bouquins qui traitent du sujet, mais c'est "imbittable" si on n'est pas du métier
et la notice d'utilisation de mon Korg n'est pas très explicite sur le sujet.
07 Oct 2008 11:13
Le Poulpe Mort a écrit :Alors, le compreseur réduit la dynamique.
Le but , c'est d'augmenter le niveau des signaux faibles et de diminuer celui des niveaux fort.
Ainsi, le volume moyen parait plus élevé
Comment ça fonctionne.
Et bien c'est simple. Quand à un instant T, le signal dépasse un un niveau N, le compresseur va réduire le niveau de N à l'instant T d'un ratio que l'on a définit.
Exemple, Prenons un seuil de - 6 dB et un un ratio de 3:1.
Le signal en entrée arrive à -3dB, à la sortie (après compression), il est sera de -5dB.
Alors, à cet instant T a un volume moins élevé certes ! Mais comme tous les instants auront moins d'écart, le volume moyen paraitra plus important à nos oreilles.
Puisque les 3 dB supplémentaires seront réduits à [1]dB[/b]
Pour donner parfois plus de pêche, on a un paramètre qui s'appelle l'attaque sur les compresseurs.
C'est à dire que la compression n'entrera en action qu'après un certain délai.
Exemple, On règle l'attaque à 0,3 s.
On a un son qui monte brusquement à 9dB, de 0 à 0.3s, il ne sera pas compressé, et à partir de 0,3s, il sera compressé.
Ainsi, l'attaque du son sera plus forte que le reste.
--
La limitation est un cas particulier de la compression car il a un seuil très élevé et un taux de compression maximum. Sa fonction principale est d'empêcher toute saturation.
Cependant, on l'utilise souvent aussi en mastering pour diverses raisons.
Tout d'abord, parce que le numérique (support CD), est telle que l'on ne peut pas stocker toutes les nuances de volume aussi aisément que ce que l'on voudrait.
Aussi, parce que ça obligerait l'auditeur a pousser le volume de la chaine à fond à cause des passages faibles, et les passages forts feraient trembler tous les murs. Et si il ne met pas le volume assez fort, il n'entend pas les passages faibles.
Ainsi, on utilise un limiteur pour minimiser ces grands écarts.
Il faut avouer que c'est appréciable de pouvoir entendre le triangle dans l'orchestre, sans pour autant se faire déchirer les tympans par le tuba.
L'autre intérêt d'utilisation, c'est par exemple, lorsque l'auditeur est dans une voiture, le tout doit "couvrir" le bruit ambient, c'est pourquoi les radios utilisent à outrance la compression et la limitation.
A la télé, c'est la raison pour laquelle on a l'impression que les pubs sont plus fortes que le film.
On compresse/limite, pour que le téléspectateur entende très bien la pub.
Ce sont deux outils très puissants et comme tous les outils puissants, ils sont très dangereux dans la mesure où il est très facile de détériorer la qualité de ce que l'on a enregistré.
C'est pourquoi quand on enregistre des pistes en vue d'aller en studio, on ne met ni compression, ni limitation. C'est l'ingé son qui utilisera à bon escient ces effets lorsque cela sera nécessaire.
voilà c'est ça que je voulais dire mais il me manquait 2, 3 infos techniques !
07 Oct 2008 15:34
Je répondrais à toutes ces question après le boulot, c'est à dire, vers 20h00. ;)
07 Oct 2008 22:27
Adamasplayer a écrit :Merci pour toutes ces explications et ces démos.
Autre chose maintenant : dans quel ordre faut-il pratiquer ?
Après la prise de son brute sans correcteur,
- quand doit-on ajouter les effets (reverb, phaser, chorus, delay ...),
- à quel moment doit appliquer les compresseur, limiteur, expanseur,
- les correcteurs physiologiques graves aigüs,
- et enfin la masterisation ? quesaquo ?
Je sais, ça fait beaucoup de choses mais merci d'avance d'éclairer ma lanterne sur tous ces points ... j'avoue que je pourrais bien acheter des bouquins qui traitent du sujet, mais c'est "imbittable" si on n'est pas du métier
Alors, vaste sujet (mais vu que je suis très fatigué, je ferais concis).
La compression peut s'appliquer au mixage, sur les pistes séparées, juste après la prise de son, surtout sur la batterie, la basse et les voix, qui se caractérisent par des écarts de dynamiques très importants de manière naturelle.
Sur les autres instruments, c'est plus pour colorer le son, modifier la couleur sonore. ou parfois, parce qu'il ne ressortent pas suffisamment dans le mix, (mais c'est plus léger)
C'est aussi à ce moment là, que l'on effectue le plus gros de l'égalisation, mais pas n'importe comment. Je ne pourrais tout expliquer ici, ce serait beaucoup trop long.
On peut ajouter à ce moment là les effets comme la reverb, les delays, les chorus.
On les appliqueent après les premières compressions/limitations/expansions, parce que justement, les traitements de dynamique modifieraient complètement les effets de reverb delays, chorus, et ça gâcherait tout ce que l'on a fait auparavant.
Une fois que l'on a notre mix, arrive l'étape de masterisation.
Ca, c'est le state of the art. Un boulot à confier aux meilleurs ingés sons parce qu'on a vite fait de bousiller en 1 seconde un boulot de prises de sons/mixage qui a duré des semaines ou des mois.
Disons en gros que c'est l'étape ou l'on va préparer le mix pour être adapté au support d'arrivée (CD, DVD, vynile).
Par exemple, le vynile impose des conditions qui font que le mastering sera complètement différent que pour un CD.
Au mastering, il y a de la compression, de la limitation, de l'égalisation. Mais je ne m'étendrais pas sur cette étape qui est bien au delà de mes compétences. (J'essaie déjà de faire des prises de son correctes, ce qui représente déjà quelque chose d'énorme).
J'ai 2 bouquins qui sont très bien expliqués, faciles d'accès et abordables sur le mixage !
"Prise de son et mixage" en 2 tomes par Hervé Baudier.
Allez, now, pour moi, c'est une Tisane et au lit !
A plus tard !
08 Oct 2008 11:34
Merci pour ces infos, je vais essayer de trouver tes bouquins.
T'as bien mérité une bière, si l'envie te dit .....
T'as bien mérité une bière, si l'envie te dit .....
08 Oct 2008 13:43
salut tous les amis, je n'avais pas vu tous ces com sur ma question...beaucoup d'infos et de choses à avoir.....pour répondre à Poulpe Mort, et bien, moi j'ai de très bons rapports avec mon banquier, c'est lui qui n'est pas en bon terme avec moi....je ne sais pas pourquoi :-)
Bref je prend note de toutes vos infis et je crois que j'achèterai micros par micros....etc par contre :
-Que pensez vous du fait d'acheter un micro d'occas, et comment être sur qu'on achète un matériel en bon état...quand on est débutant on peut se faire rouler, donc je suppose qu'il vaut mieux acheter du neuf..........histoire à suivre
Bonne journée à tous
Chris
Bref je prend note de toutes vos infis et je crois que j'achèterai micros par micros....etc par contre :
-Que pensez vous du fait d'acheter un micro d'occas, et comment être sur qu'on achète un matériel en bon état...quand on est débutant on peut se faire rouler, donc je suppose qu'il vaut mieux acheter du neuf..........histoire à suivre
Bonne journée à tous
Chris
09 Oct 2008 18:28
Adamasplayer a écrit :Merci pour ces infos, je vais essayer de trouver tes bouquins.
T'as bien mérité une bière, si l'envie te dit .....
C'est pas de refus. Faudrait qu'on se voit à plus que ça, avec nos grattes en plastoc !
salut tous les amis, je n'avais pas vu tous ces com sur ma question...beaucoup d'infos et de choses à avoir.....pour répondre à Poulpe Mort, et bien, moi j'ai de très bons rapports avec mon banquier, c'est lui qui n'est pas en bon terme avec moi....je ne sais pas pourquoi :-)
Bref je prend note de toutes vos infis et je crois que j'achèterai micros par micros....etc par contre :
-Que pensez vous du fait d'acheter un micro d'occas, et comment être sur qu'on achète un matériel en bon état...quand on est débutant on peut se faire rouler, donc je suppose qu'il vaut mieux acheter du neuf..........histoire à suivre
Bonne journée à tous
Chris
C'est pas évident de savoir si le micro que l'on achète est en bon état.
La seule fois où j'ai acheté un micro d'occase, je suis parti l'essayer chez sa propriétaire (fort charmante).
il y a moins de risques avec un micro dynamique qu'avec les micros statiques, ou à lampe, ou à ruban. (Les micros dynamiques sont beaucoup plus robustes).
Mais je conseille d'acheter dans le neuf.
Il faut savoir aussi que les micros n'aiment pas trop la fumée de cigarette, l'humidité, les bactéries...